Riviera: The Promised Land (WonderSwan Color)

Riviera: The Promised Land (WonderSwan Color)

 Gérald Mercey 

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  Joué

Riviera: The Promised Land (WonderSwan Color)

Développeur : Sting Entertainment

Éditeur : Sting Entertainment

Date de sortie : 12 juillet 2002

Sting n’est pas qu’un chanteur culte, loin s’en faut. Il s’agit également d’une société de développement japonaise qui œuvre depuis longtemps pour le sacro-saint RPG. Mais si, vous savez, je vous en avais parlé lors de ma chronique de Treasure Hunter G sur Super Famicom (le 19 avril 2023). Bref, Sting a un jour décidé de lancer une sorte de grande saga de RPG nommée « Dept. Heaven ». Et comme il fallait se démarquer, le premier titre – Riviera – fut lancé sur une plateforme uniquement japonaise : la WonderSwan Color. Bon, le jeu rencontra son petit succès au Japon, et il fut décidé par la suite d’en réaliser un portage sur GBA, histoire d’en vendre plus que deux (mais nous reviendrons là-dessus).

Riviera: The Promised Land (WonderSwan Color)

Dans l’absolu, Riviera est un incroyable titre. Beau à en pleurer sur l’écran minimaliste de la WonderSwan, il explose carrément les limites de cette plateforme. Côté scénario, Sting met en place une intrigue extrêmement complexe, mélange d’intrigues politique et de romance. Car oui, les fins de Riviera dépendent non seulement de vos choix, mais également de vos conquêtes. Ah, le Japon…

Riviera: The Promised Land (WonderSwan Color)

Les combats sont également complexes, et basés sur l’utilisation d’objets (qui finissent par casser) et certaines formations de combat. Tout cela est très fouillé, mais requiert un certain entraînement avant que le joueur ne comprenne vraiment comment faire avancer les affrontements. Les fans de stratégie seront aux anges, les autres pleureront leurs mères.

Riviera: The Promised Land (WonderSwan Color)Riviera: The Promised Land (WonderSwan Color)

Verdict : 16/20

Riviera: The Promised Land sur WonderSwan est un jeu impossible à terminer si l’on ne maîtrise pas excessivement bien le japonais (ou Google translate). Profond et léger à la fois, il bénéficie d’une direction artistique originale, mais pas vraiment dans les canons de l’époque. Il se trouve justement que cela va changer quelques années plus tard… À demain pour en apprendre davantage !

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